Je suis une créative !

Dans la boutique Les Bigoudines de Sandrine, un vent d’ouest souffle sur la déco ! Sandrine revisite ici la petite poupée bretonne de notre enfance, la réinvente dans une ligne plus stylisée, plus actuelle, afin qu’elle trouve naturellement sa place dans votre intérieur

link.

 Je suis passionnée par le relief et je cherche en permanence à le créer sur mes modèles grâce justement à la broderie ! Comme si mes motifs devaient "sortir de la toile" ! Je vous propose une customisation sur vos tenues préférées ! Et plus encore : un vêtement usé que vous adorez, qui vous va comme un gant ! Ne le jetez plus : il me servira de patron pour le reproduire tout neuf ! Merci de votre visite et à très bientôt .........link

S'il y a un des métiers de mairie qui m'étonnera toujours le plus, c'est bien celui de souffleur de feuille
Pourquoi ?
D'abord parce que c'est bruyant et à 6h du matin, c'est pas tout le monde qui part bosser
Ensuite !
Je me demande si c'est vraiment efficace, quand on voit la poussière que ça déplace, malheur à vous si vous ne fermez pas les yeux en passant (c'est vrai qu'à 6h du mat' on a plus de mal à les laisser ouverts que fermés !)
Et aussi !
Je trouve cela ridicule, inutile, sale, bruyant !
Et enfin !
C'est une méthode très archaïque et qui demande le travail de deux personnes : 1 pour souffler, et 1 autre pour ramasser
Certes cela doit être assez amusant « de souffler » si tant est qu'on ait pas honte de faire du bruit de très bon matin
Hélas !
Il est possible que la mairie de Nice ait du mal à investir sur un aspirateur traîneau de rue !
Et même si ça n'existe pas, il faudrait l'inventer mais à condition d'y mettre un silencieux !
Y'en a marre du bruit et des crottes de chien !
Merci les cantonniers pour votre boulot hyper-matinal, les trottoirs sans feuilles ça glisse moins, faut y penser quand on sait que la population française est franchement et majoritairement vieillissante. En admettant qu'à Nice on vit plus longtemps, il n'en reste pas moins que les glissades sont fortement déconseillées.
Quand même, ça reste utile un souffleur de feuille, la preuve : dans la journée, les feuilles d'automne étant retombées après le passage du souffleur de feuille, ma maman est tombée en posant le pied sur une feuille, elle-même posée sur une crotte de chien !
Récapitulation !
L'aspirateur traîneau devra être multi-usages, multi-fonctions et multi-horaires !!!!!

Pourquoi ?

D'abord parce que c'est bruyant et à 6h du matin, c'est pas tout le monde qui part bosser

Ensuite !

Je me demande si c'est vraiment efficace, quand on voit la poussière que ça déplace, malheur à vous si vous ne fermez pas les yeux en passant (c'est vrai qu'à 6h du mat' on a plus de mal à les laisser ouverts que fermés !)

Et aussi !

Je trouve cela ridicule, inutile, sale, bruyant

Et enfin !

C'est une méthode très archaïque et qui demande le travail de deux personnes : 1 pour souffler, et 1 autre pour ramasser

Certes cela doit être assez amusant « de souffler » si tant est qu'on ait pas de honte à faire du bruit de très bon matin

Hélas !

Il est possible que la mairie de Nice ait du mal à investir sur un aspirateur traîneau de rue !

Et même si ça n'existe pas, il faudrait l'inventer mais à condition d'y mettre un silencieux !

Y'en a marre du bruit et des crottes de chien !

Merci les cantonniers pour votre boulot hyper-matinal, les trottoirs sans feuilles ça glisse moins, faut y penser quand on sait que la population française est franchement et majoritairement vieillissante. En admettant qu'à Nice on vit plus longtemps, il n'en reste pas moins que les glissades sont fortement déconseillées.

Quand même, ça reste utile un souffleur de feuille, la preuve : dans la journée, les feuilles d'automne étant retombées après le passage du souffleur de feuille, ma maman est tombée en posant le pied sur une feuille, elle-même posée sur une crotte de chien !

Récapitulation !

L'aspirateur traîneau devra être multi-usages, multi-fonctions et multi-horaires !!!!!

Salle comble au Méridien, le 10 novembre, pour NICE ENSEMBLE dont le sujet à l’ordre du jour était : « Quelle politique de proximité ? 

Eric CIOTTI a fait le constat d’une Nice souffrante et cela depuis de trop nombreuses années : un tourisme qui s’effrite, des offres d’emploi qui diminuent, la malpropreté légendaire de la ville de Nice,…… Eric CIOTTI a cité Monsieur Christian ESTROSI dont la candidature à la Mairie nous redonne l’espoir d’une vie niçoise plus qualitative.

Ensuite, plus de 40 intervenants pour la plupart Présidents de Comité de Quartier se sont exprimés sur leurs préoccupations quotidiennes :

• L’insécurité, le manque d’équipement de proximité (crèches, équipements sportifs) , la précarité (la pauvreté, les SDF, la drogue), la malpropreté, le manque de stationnement, les problèmes de circulation, le logement, la grande distribution……

Christian ESTROSI dans son intervention finale ne veut pas « jeter la pierre » mais précise que la démocratie c’est aussi savoir écouter.

Pas de réponse quand aux préoccupations immédiates des intervenants, l’heure n’est pas encore venue, mais des précisions quand à sa campagne qui ne sera pas une campagne pour détruire mais bien une campagne pour construire.

« Je ferai appel à tous les talents, toutes les compétences et aussi à la jeunesse » dit-il encore, «  et je tiendrai compte de toutes les idées d’où qu’elles viennent ».

Deux dénominateurs communs seront son let motive : l’un concernant la proximité, l’autre, le développement durable. Car Christian veut faire de Nice, la ville verte du bassin de la méditerranée.

Monsieur ESTROSI donne quelques points de réflexion et non des moindres :

• Restructuration des services municipaux

• Une police plus réactive

• Rationalisation des services du nettoiement

• Action contre les nuisances

• Politique du pollueur payeur

• Plan de rachat et réhabilitation des petits commerces

• Création de parking (création de 5000 places de parking en sous-sol avec des prix adaptés et les 2 premières heures gratuites)

• Les autoroutes périphériques gratuits

• Plus d’équipements de quartiers

• La Gare du Sud ne sera pas la nouvelle mairie (les 200 millions de dépenses prévues sous le mandat actuel iront au développement des équipements de quartier) ;

Par contre, en ce qui concerne la réhabilitation de la Gare du Sud, 2 projets sont sujets de réflexion : Une cité universitaire ou un hôtel de Police Centrale.

Pour Christian ESTROSI, « l’homme doit être au cœur de nos projets ». Cela va sans dire que son intervention a soulevé beaucoup d’espoir aux niçois et niçoises présents à cette convention.

Je m'appelle Madeleine, j'ai 86 ans

J'ai beaucoup souffert dans ma vie mais je ne le raconte pas à tout le monde, je me méfie des gens qui veulent tout savoir et qui ne comprennent rien.

J'ai 4 enfants et j'ai perdu mon mari alors qu'il avait 57 ans.

J'ai tout connu dans ma vie, le deuil, la guerre, la faim, l'exode, la maladie, la mutilation.

Aujourd'hui j'arrive au bout et j'ai peur ! Peur de l'absence, peur de l'abandon, peur de la mort !

Je suis comme un enfant, j'ai envie d'être dorlotée, protégée, entourée.

J'ai plus envie de me battre, j'ai plus envie de souffrir, j'ai plus envie de rien faire.

Je n'ose même plus sortir toute seule, je fais des bêtises, beaucoup de bêtises et j'ai honte.

C'est pas drôle de vieillir, je le dis souvent à ma fille ! Elle, elle ne veut pas vivre aussi longtemps que moi, elle trouve que c'est trop dur. Elle est pourtant gentille avec moi, j'ai pas à me plaindre d'elle, mais c'est plus fort que moi, des fois je suis dure avec elle.

Heureusement, elle ne dit rien, elle attend que ça me passe, elle me connaît bien, elle sait bien que je ne suis pas méchante au fond.

Je sais bien que mes enfants ont leur propre vie, mais quand même je me sens souvent seule alors je me couche en attendant qu'ils reviennent, ils ont tellement de choses à faire, ils ne se rendent pas compte que bientôt je ne serai plus là, que j'arrive au bout du chemin.

J'en ai marre d'être prise pour une petite fille qui ne sait plus se faire à manger, qui ne sait plus prendre ses médicaments, se laver toute seule, sortir toute seule.

Je ne comprends pas pourquoi ils sont tous après moi à me dicter ce que je dois faire, j'étais plus tranquille avant quand ma santé était meilleure.

Je reconnais que je perds un peu la mémoire, je ne sais plus où je mets l'argent et souvent je perds mes clefs. C'est énervant et ma fille passe des heures à chercher, c'est simple à chaque fois qu'elle vient me voir, j'ai perdu quelque chose. Je soupçonne les infirmières, la kiné de me voler. Heureusement, ma fille finit toujours par les retrouver. Il y a aussi des étrangers qui viennent chez moi, ne sachant où dormir et parlant fort, ils s'installent pour quelques heures dans ma salle à manger. 

Dernièrement j'ai cru que le cancer me rattrapait, je m'en méfie de celui-là, je le connais trop bien puisqu'il m'a valu l'abblation de mes deux seins à 45 ans. J'ai eu dernièrement une opération mutilante et j'ai de sacrés doutes.
Personne ne me dit rien, j'ai entendu les médecins parler en sourdine.................

De toute façon je ne veux plus subir d'anesthésie générale, c'est terrible à mon âge, j'ai mis 2 mois et demi à m'en remettre et puis je ne veux plus être un cobail pour la science.
Je veux qu'on me laisse en paix, 26 opérations, j'ai le droit de dire NON !

Maman aura 86 ans le 22 septembre 2007.

Elle vit près de chez moi depuis 7 ans et je m'occupe d'elle. Jusqu'à présent, nous avions un planning de visite bien organisé car je devais jongler entre mes deux emplois, ma maison, mon mari, ma vie à moi.

Aujourd'hui maman est devenue moins autonome, une opération toute récente mal supportée, a fait que maman s'est affaiblie. Et puis, il y a l'âge, physique et cérébral : Elle oublie de manger ou mange à n'importe quelle heure et n'importe quoi, elle ne prend pas ses médicaments régulièrement, la solitude ne la stimule plus.

Nous sommes 4 frères et soeurs, géographiquement je suis la plus proche donc celle qui s'occupe d'elle, de toute façon, maman m'a choisie pour l'accompagner jusqu'à la fin. Parce qu'elle savait que je ne la laisserai jamais tomber, même malade, même tout.

Alors je m'y emploie de toutes mes forces, de tout mon coeur, de toute ma tendresse.

Je me suis vue prendre maman comme un tout petit, la bercer, la caresser, la rassurer.

Nos échanges sont parfois très profonds, nous rions beaucoup, je lui raconte ses moments de confusion où elle fait des bêtises et elle rit de bon coeur en disant : "j'avais la tête à l'envers".

Je me suis vue rentrer chez moi avec des gros sanglots, cachée derrière mes lunettes noires pour que les passants ne me voient pas pleurer, parce qu'elle était mal ou dans un ailleurs que je ne peux pas connaître.

Ces moments là je ne les donnerai pour rien au monde, même pas pour une fortune, parce que ces moments là sont d'une richesse inestimable.

Je ne sais pas combien de temps vivra maman, mais ce dont je suis sûre, c'est que le temps passé auprès d'elle, au détriment d'autres choses que je pourrais faire, me donne un rayonnement affectif et humaniste qui me servira pour des missions futures d'accompagnement.

Aidez vos parents à vieillir comme ils nous ont aidé à grandir !

Le laisser-aller s’installe chaque jour davantage dans l’expression écrite française. Juste deux petits exemples pour illustrer ce propos, mais si vous en voulez d’autres, à votre disposition !

Tout d’abord ce gros titre de Nice Matin, journal quotidien tirant à près de 300.000 exemplaires, qui oublie les formes du pluriel des verbes ! Ensuite cette plaque de square où aucun des édiles présents lors de l’inauguration n’a constaté l’énorme erreur orthographique. Elle trône pourtant depuis plusieurs mois dans son état original sans que nul ne s’en offusque.




Ah ! Vivement que l’on enseigne l’art du SMS dès la maternelle et qu’on impose à tous les adultes de s’y adonner également. Au moins, le français sera « libre » !

• - Donc, quand on travaille à plein temps, on n’a pas le temps de faire autre chose ! (Les 35 heures nous ont donné du temps libre pour se reposer et non pour travailler).  
  
• - Une entreprise gagne de l’argent tout de suite ! (Bien sûr pas de problème, comme un fonctionnaire en fin du mois, l’entreprise touche un salaire).
  
• - Un conjoint qui travaille à plein temps ne doit pas aider sa moitié ! (Ben voyons, à quoi ça sert de se marier ou tout simplement de vivre ensemble sinon que de se regarder les yeux dans les yeux toute la journée et même toute la vie durant).  
  
• - Une personne qui crée son entreprise n’a besoin de personne et encore moins de son conjoint ! (Chacun pour soi et Dieu pour tous).
  
• - Le conjoint d’un créateur d’entreprise n’a pas le droit de cotiser à une autre caisse de retraite que la sienne (800 euros par mois c’est largement suffisant pour vivre après 60 ans).
  
• - La jeune entreprise ne peut supporter des charges supplémentaires (Le conjoint salarié n’est pas apte à payer lui-même ses cotisations retraite en payant sa contribution à l’entreprise).
  
• - Le salarié doit demander une réduction de temps de travail à son patron (Comme ça, le couple mangera des pattes et des pommes de terre tous les jours et à 60 ans, sa retraite sera diminuée de moitié).
  
• - Etc. etc. 
  
  Une autre abérration du système : un créateur d'entreprise qui a, en plus, une activité salariée ou qui touche une retraite (donc qui côtise à la sécurité sociale) doit quand même payer des charges a une caisse maladie et une caisse de retraite de travailleur indépendant ! Question de solidarité, c'est la raison qu'on vous rétorque quand vous osez manifester votre mécontentement !
  
  Et  après cela on ose vous dire que le conjoint collaborateur ne doit pas travailler plus de 75h par mois !
  
  Oserai-je dire que celle loi est célérate ? Eh bien oui j'ose haut et fort ! Parceque :
  
  La France est pleine de lois idiotes et décalées ! 
  
  Alors, NICOLAS ne soit pas surpris si les français sont d’humeur bougonne, leurs bonnes volontés sont à la merci de législateurs castrateurs que tu ferais bien de mettre à la retraite anticipée. 
   
  « Travailler plus pour gagner plus » C’est la France à 2 vitesses : la tienne, NICOLAS, et l’autre, celle du législateur qui vit dans sa bulle.